L'âge de maman, 74 ans. Bonne journée.
Anne-Marie Lafontaine
porte parole du Comité des amis du Parc de la rivière Batiscan, le 1er novembre 1999.
Géographie et étude d'impact
J'aimerais avoir tes textes, les 3 ci-dessous car cet hiver je donne un
cours : géographie et étude d'impact. J'aimerais pouvoir, avec ta
permission, les glisser dans mon cours. Tu connais mon respect pour la
propriété intellectuelle, j'entends bien identifier les auteurs des textes.
Claude G.Genest, Dr de 3e cycle
Professeur de Géographie
Université du Québec à Trois-Rivières
C.P. 500, Trois-Rivières, Québec, Canada, G9A 5H7
http://www.Uqtr.Uquebec.Ca/~genestc
Informations supplémentaires
Merci beaucoup pour l'information sur le Parc de la rivière Batiscan que vous m'avez fait parvenir la semaine dernière. Voyez vous je suis un utilisateur de ce magnifique environnement que ce soit pour la camping ou pour les sentiers le long de la rivière Batiscan et ce depuis maintenant deux étés.
Je suis le dossier du projet de centrale depuis l'annonce dans les journaux à la mi-août et j'ai même participé à la signature d'une pétition pour la sauvegarde des chutes non seulement comme signataire mais grâce à certain contact j'en avais une copie que j'ai fait circuler dans mon réseau et j'ai ramasser quelques 300 signatures. Vous comprendrez donc que les informations supplémentaires
que j'ai reçues de votre part furent un très bon complément d'information et je vous en
remercie.
bonne journée
Serge Poitras, le 12 octobre 1999.
Parc de la rivière Batiscan, secteur Murphy, près de la
passerelle : 46°34'51.2" N 72°24.41,1" O.
Coalition Eau Secours
Votre site est une merveille. Merci.
J'ai mentionné à Anne-Marie Lafontaine l'importance de témoigner du dossier de la Batiscan aux audiences prochaines du BAPE à Trois-Rivières.
Lui ai mentionné qu'il serait opportun d'y présenter simplement les pages de votre site concernant la Batiscan et vos réflexions sur la nature.
Hubert Reeves est un des porteurs d'eau de la Coalition Eau Secours ! Il serait intéressant qu'il participe au débat.
Meilleures salutations
Alain Saladzius, Montréal, le 11 octobre 1999.
Son cœur et sa cour
Quel plaisir de recevoir ton mot à chaque début de semaine. Je le lis en
profondeur et j'y reviens souvent.
Concernant la nature, l'environnement, les ressources naturelles, j'abonde
dans ton sens et me pose les mêmes questions que Gisèle Lamoureux. Je doute fort, qu'à l'heure actuelle, on puisse attendre une réelle réflexion, de ceux à qui bénéficient le saccage des richesses naturelles, qu'ils soient
« business men » ou « politiciens » ?
Les masses, par définition, ne réfléchissent pas, non plus que les
organismes gouvernementaux ou les conseils d'administration : ce sont les
individus, un par un, quel que soit leur boulot, qui se doivent de prendre conscience en profondeur, d'être cohérents par la suite.
J'ai de nombreux amis remplis de bonnes intentions, très "écolos" et qui
d'autre part exigent le meilleur rendement possible de leurs fonds mutuels
ou autres placements ! Ils rejoignent ainsi les projections de rendement de
ces mêmes compagnies saccageuses d'environnement qu'ils dénigrent.
Si chacun nettoie son cœur et sa cour, peut-être alors ?....
Merci Nichole et bonne semaine !
Marie-Colette Renaud, Sutton, le lundi 11 octobre 1999.
Utiliser des moyens violents ?
Malheureusement je n'ai pas toujours le temps de consulter ton site, mais ce matin, oui, car ayant déjà visité le Parc de la Batiscan, ton annonce m'a chicoté. C'est un parc magnifique.
Je trouve absolument regrettable les faits rapportés par les Amis. Mais avec la façon actuelle de gouverner le Québec, ce n'est pas surprenant. Nos gouvernements n'ont aucune préoccupation environnementale. Tout ce qui compte c'est l'entrée d'argent à court terme. Le développement durable, connaît pas, sauf pour faire du marketing et de la propagande.
De quelles armes disposons-nous ? Le bon sens, plus la durabilité de la planète, plus une vie saine comptent-ils en face des promesses d'investissements de milliers de dollars et de quelques emplois à court terme ? Pas du tout, semble-t-il.
Et bonne chance pour une commission d'enquête. Mais cela règle-t-il quelque chose? On a des précédents éloquents de ce que font les gouvernements avec les pétitions et les commissions d'enquête.
Sommes-nous rendus à devoir utiliser des moyens violents ?
Occuper les lieux comme des pacifistes enragés ?
Green peace a-t-elle raison ?
Comme les pêcheurs face aux Amérindiens ?
Gisèle Lamoureux,
auteure et éditrice
Guide d'identification Fleurbec
Chevalier de l’Ordre national du Québec
le lundi 4 octobre 1999.
Grande inquiétude
Très beau ton poème adressé à ta
petite-fille. Tes mots réjouissent le cœur même s'ils témoignent d'une grande inquiétude. Le regard que tu portes sur la nature nous en révèle toute la beauté. Que cet héritage soit menacé par la folie humaine au nom d'impératifs économiques démontre malheureusement le degré d'élévation spirituelle où nous sommes parvenus.
Trop souvent, on accepte de tout saccager par appât du gain. L'hommerie toujours à l'oeuvre. Heureusement, il existe encore des veilleurs, les poètes.
Merci de sonner la cloche du bon sens.
Conservons nos eaux vives.
Robert Robert, le lundi 4 octobre 1999.
Poésie/aquarelle
J'ai malheureusement raté la journée du jeudi, le 23 septembre. J'ai su trop tard que vous seriez présente cette journée là. Mon amie Monique et moi sommes par contre, allé voir votre exposition à l'auberge Harris et nous avons beaucoup aimé !
L'idée de joindre les deux œuvres dans un même tableau est géniale, à notre humble avis d'amateur dans ce domaine, ! Les poèmes de Jean-Yves Théberge et vos aquarelles habitant dans le même tableau sont d'une harmonie délicieuse.
Nous aurions aimé pouvoir nous procurer un recueil des poèmes de M.
Théberge. Malheureusement il semblerait qu'il ne reste plus aucune copie de son recueil... Sauriez-vous nous dire si vraiment tel est le cas ?
Je crois que ne manquerai pas d'avoir à nouveau à communiquer avec vous Madame Ouellette ! Monique et moi aimons beaucoup ce que vous faites sur votre site.
Je viens de lire en partie les lignes sur la rivière Batiscan et ça me donne tout simplement envie d'aller voir sur place !
Merci !
Lisette Riendeau, le lundi 4 octobre 1999.