Nichole Ouellette
présente
Observations, notes et recherches
Antée Audience Ballast et remblais Références, sources CA Calendrier 2001 - 2002 Canot d'écorce Canot d'écorce Écorce de bouleau Alexandre Blouin Gauvreau, Marcelle Gauvreau, Marcelle Gauvreau, Marcelle Gauvreau, Marcelle Gauvreau, Marcelle Herbier Louis-Marie Herborisation Herborisation Herborisation Nomenclature Intelligence Habitat Herbier Kalm Pehr Kalm Pehr Kalm Pehr Marie-Victorin Marie-Victorin Marie-Victorin Marie-Victorin Marie-Victorin Marie-Victorin Mère sauvage, fille Partenaires Provancher, Léon Rhus radicans Rhus radicans Sécher des plantes Termes et conditions
Navigation
Accueil Par Marie-Victorin Édition numérique Divisions de l'ouvrage DICOTYLES MONOCOTYLES Plantes comestibles Plantes introduites Plantes médicinales Plantes rares Faire un don À la UNE PHOTOGRAPHIES Références
|
infos cueillies sur le terrain, photos, dates,
géolocalisation
|
1885 |
Le 5 avril, naissance de Conrad Kirouac (frère Marie-Victorin), à Kingsey Falls. |
|
Études primaires et Académie Commerciale de Québec. |
1901 |
Le 5 juin, entrée au noviciat Mont-de-La-Salle, à Maisonneuve, sur l'île de Montréal, chez les Frères des écoles chrétiennes. |
1903 |
Début de carrière d’enseignant, collège
de Saint-Jérôme, |
1904 |
Septembre, seconde le directeur-fondateur
au collège Saint-Léon de Westmount. |
1904 |
Novembre, enseigne au collège de
Longueuil. |
1905 |
Le frère Rolland Germain, initie frère Marie-Victorin à la botanique,
premiers travaux de la Flore laurentienne. |
1906 |
Fonde le Cercle La Salle, cercle littéraire destiné aux étudiants du collège de Longueuil. |
1909 |
Début d’échanges avec des savants étrangers, dont une correspondance avec Merritt Lyndon Fernald, de l’Université Harvard et plus tard directeur du Gray Herbarium, Cambridge, Massachusetts, ÉUA. |
1919 - 1920 |
Publie la Flore du Témiscouata,
6ième des contributions du laboratoire de botanique du collège de Longueuil. Articles dans l'Ottawa Naturalist, le bulletin de la Société de géographie de Québec, la revue trimestrielle Canadienne, les Récits laurentiens, en 1919, les Croquis laurentiens, en 1920. |
1920 |
Le 24 août, nomination au poste de professeur agrégé de botanique théorique et pratique à l'Université de Montréal,
|
1922 |
Le 13 juin, obtention d’un doctorat du Conseil de la faculté des sciences. Le 22 juin, nomination au poste de professeur titulaire et élection comme membre du Conseil de la faculté des sciences. Attribution du « prix Athanase-David » pour sa thèse de doctorat « Les filicinées du Québec ». |
1923 |
Co-fondation et direction générale de
l’Association canadienne-française pour l’avancement de la science, Acfas. |
1923 |
Co-fondation, secrétariat et présidence
(1925) de la Société canadienne d’histoire naturelle. |
1927 |
Seul membre canadien-français, en
biologie, de la Société royale du Canada |
1929 du 16 mai au 23 novembre |
Juillet, congrès de la British
Association for the Advancement of Sciences, à Capetown (Afrique du Sud). Voyage de 6 mois en compagnie de Francis Lloyd, délégué de l’Université McGill, en Europe, Asie et Afrique. En Angleterre, visite les collections de la Société linéenne de Londres, le British Museum, le Jardin botanique de Kew, le New Zoological Building d’Edimbourg. En France, le Jardin des Plantes, le Jardin zoologique et l’Institut Pasteur. Aux îles Canaries, visite le Jardin botanique d’Orotaba. En Afrique du Sud, visite du Jardin botanique du Cap, au Congres, prononce un travail : Some Evidence of evolution in the Flora of Northeastern America. Remonte la côte africaine en bateau, traverse le désert soudanais en train, descendent le Nil en bateau, visite le Jardin botanique Au Caire. En Tchécoslovaquie, visite du Jardin botanique de Prague. En Allemagne, visite du Jardin botanique de Berlin « très grand, très scientifique », celui de Cologne où Marie-Victorin prend beaucoup
de notes. Partout où loge une université, des botanistes viennent au devant de nos Canadiens, s’offrent à les loger, leur font visiter la ville, le pays, les laboratoires, les collections, bourrent leurs poches de brochures et les questionnent avidement. |
1929 – 1930 |
À la demande du professeur Fernald,
donne des cours au Gray Herbarium de l’université Harvard, sessions d’hiver. |
1931 |
Juin, inauguration du Jardin botanique de Montréal. |
1935 |
Le 3 avril, lancement à l’hôtel
Viger, à Montréal, de la première édition de la Flore laurentienne,
synthèse de 30 ans des travaux du frère Marie-Victorin et de son équipe. |
1939 |
Déménagement de l’Institut botanique de la rue Saint-Denis, dans l’édifice du Jardin botanique de Montréal. |
1944 |
Le 15 juillet, à 57 ans, meurt dans un
accident de voiture. |
|
1913 à 1920 |
Herborisation avec le frère Rolland Germain, à Ottawa, dans la vallée de la
rivière des Outaouais, dans la région de Témiscouata, à
île aux Coudres, à l'île d'Anticosti et au
Témiscamingue. |
1920 – 1921 |
Région du lac Saint-Jean (Marie-Victorin et Jules Brunel) |
1923 |
Gaspésie intérieure (Marie-Victorin, Zéphirin Rousseau, Jules Brunel, Rolland Germain) |
1924 – 1928 |
Anticosti-Minganie (Marie-Victorin, Rolland Germain, accompagnés en 1927 du père Louis-Marie) |
1930 - 1931 |
Baie des Chaleurs, Nouveau-Brunswick (Marie-Victorin, Rolland Germain, Émile Jacques, Renée Meilleur et le frère Dominique) |
1933 |
Ottawa supérieur, Abitibi. |
1935, 1936, 1937 |
Plusieurs voyages au lac Saint-Jean, |
1932, 1936, 1937 |
Excursions dans l’Ontario, le long des Grands Lacs, jusqu’à la baie Georgienne |
1936 |
Cantons de l’Est, Gaspésie |
1939 |
Études floristiques à Cuba |
|
La bibliographie du frère Marie-Victorin comprend
- 84 travaux de science pure ou appliquée.
- 214 travaux sur divers sujets, littérature, éducation, vulgarisation scientifique, histoire.
Les travaux d’éducation contiennent, entre autres, des articles dans les journaux, des émissions radiophoniques, des essais et des discours présidentiels à la Société
canadienne d’histoire naturelle. Les travaux de vulgarisation scientifique s’adressent particulièrement aux Cercles des jeunes naturalistes.
Le frère Marie-Victorin correspondait et échangeait avec d’éminents scientifiques de son époque, au Canada et à l’étranger. S’ajoute une volumineuse correspondance personnelle notamment avec sa sœur, sœur Marie-des-Anges et Marcelle Gauvreau, première bibliothécaire de l’institut, attachée au service de l’Enseignement du Jardin botanique et directrice de l’école de l’Éveil.
|
|
L’œuvre majeure du frère Marie-Victorin, la Flore laurentienne, est la synthèse de 30 années d’études, d’explorations, d’observations. À
mi-chemin entre la science pure et la vulgarisation, la Flore laurentienne, éditée en 1935, fait encore autorité,
75 ans plus tard. Malgré une édition désuète et un manque total de promotion, environ 1 000 copies du manuel sont vendues chaque année. Au Québec, les universités et les maisons d’enseignement utilisent encore l’ouvrage comme manuel d’enseignement de la botanique.
De l’avis de plusieurs, la Flore laurentienne et son auteur, le frère Marie-Victorin sont des piliers sur lesquels s’enracine la révolution tranquille du Québec.
Dans Internet
Un frère sa flore et son temps : Marie-Victorin, grand reportage de Yanick Villedieu,
Les années lumières, archives radiocanada.ca, 13:07 le dimanche 29 mars
2015.
Le chemin de la vie, Marie-Victorin, f.é.c. (1885-1944), Luc Mercier, Société Historique du Marigot, cahier no 31, décembre 1994.
|
Le frère Marie-Victorin dans son premier laboratoire à l'Université de Montréal,
rue Saint-Denis.
Source : Le frère Marie-Victorin et son temps, Rumilly, Robert. Les frères
des écoles chrétiennes, 1949.
|
Saint-Prosper-de-Champlain,
le lundi 9 janvier 2007 - le dimanche 28 août 2011
le samedi 30 juin 2012 - le dimanche 8 septembre 2013
le lundi 30 mars 2015 - le mardi 30 novembre 2021
constante mouvance de mes paysages intérieurs
|