Nichole Ouellette
présente
Équilibre actuel
FACTEURS RÉPARTITION PHYSIOGRAPHIE Physiographie Physiographie Physiographie CLIMAT Climat chaud-froid Climat neige Climat floraisons Climat automne Facteur humain PHYTOGÉOGRAPHIE RÉGION ARCTIQUE RÉGION HUDSONIENNE Région hudsonienne RÉGION LAURENTIENNE
Québec en photos
Centre-du-Québec
Gaspésie
Navigation
Accueil Par Marie-Victorin Édition numérique Divisions de l'ouvrage DICOTYLES MONOCOTYLES Plantes comestibles Plantes introduites Plantes médicinales Plantes rares Faire un don À la UNE PHOTOGRAPHIES Références
|
Édition interactive
ESQUISSE GÉNÉRALE DE LA FLORE
LAURENTIENNE.
| I. -ÉQUILIBRE ACTUEL DE LA FLORE
LAURENTIENNE.
|
La sous-région appalachienne dessine un relief modéré au sud-est d'une
ligne de dislocation partant du lac Champlain, dirigée tout droit vers la
ville
de Québec, et noyée ensuite dans le lit du fleuve Saint-Laurent jusque dans le
golfe.
45º 05' 04.0" N - 073º 08' 15.8" O,
Montérégie,
MRC Le Haut-Richelieu,
Venise-en-Québec
(Municipalité), baie Missisquoi, large échancrure de la rive nord du lac Champlain,
Plage aux deux Canards, 05:45 le dimanche 13 mai 2007
photo Venise_en_Quebec_011_800.
|
|
45º 05' 04.0" N - 073º 08' 15.8" O, Montérégie, MRC Le Haut-Richelieu, Venise-en-Québec (Municipalité),
lac Champlain, baie Missisquoi, 1923, photo collection Joan Vincent.
(Photos
anciennes). |
Cette ligne borne au nord le très ancien système montagneux des
Appalaches, qui occupe une grande partie de l'Amérique orientale et s'étend
fort loin de nos limites ; les assises qui composent ce système, fortement
refoulées, plissées et rejetées, ont été traversées par des poussées
éruptives.
48° 27' 17.5" N - 067° 12' 24.1" O,
Bas-Saint-Laurent,
MRC Matapédia, Causapscal,
rivière Causapscal,
rivière à saumon, site de la corporation de gestion des rivières Matapédia et Patapédia, secteur des chutes,
06:46 le samedi 19 août 2006, photo Causapscal_002_800.
|
Ces mouvements et ces plissements résultent de formidables
pressions venues du sud-est, et qui se sont manifestées avec une intensité
particulière vers la fin des périodes ordovicienne et dévonienne. Chaque
phase de soulèvement et de plissement fut suivie d'une période d'érosion.
Vers la fin du secondaire, un soulèvement continental d'une amplitude moyenne
de 700 mètres détermina une nouvelle et dernière période de dénudation.
C'est à ce dernier cycle d'érosion que nous devons en grande partie la
topographie actuelle de la sous-région appalachienne.
[ Précédente ] [ Index ] [ Suivante ]
Frère Marie-Victorin (1885-1944)
Flore laurentienne, p. 37.
le mercredi 24 avril 2002
le jeudi 31 août 2006 - le lundi 19 décembre 2011
constante mouvance de mes paysages intérieurs
|